En raison de l'incendie survenu au centre administratif de Saint-Denis, la salle de lecture des archives est fermée au public. Vous pouvez nous contacter par mail ou via le formulaire de contact.

C'était ici

Vous accédez à des promenades virtuelles dans l’espace et dans le temps. Les épinglettes donnent à voir un quartier, une rue ou une adresse exacte ; des lieux qui existent encore ou bien des lieux qui ont disparu.

Une épinglette peut en cacher une autre : pensez à zoomer sur la carte !



  • La cité des Cosmonautes10 document(s).

    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Mars 1967 - La Ville a acheté les terrains. La cité des Cosmonautes va pouvoir se construire. Elle sera dessinée par l’architecte André Lurçat.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    1970-1971 - Nous sommes rue Virgil Grissom, tout près de la route de la Courneuve. Sur la gauche, l’école de la rue Valentina Terechkova. Au fond les commerces et la place Youri Gagarine. Youri Gagarine est le premier homme à avoir effectué un vol dans l’espace. Après sa mort, son nom a été donné à un cratère lunaire et à un astéroïde.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    1970 - La place Youri Gagarine vue du nord-ouest. La fontaine au « Spoutnik » célèbre la conquête de l’espace par l’URSS. A l’époque, l’innovation technique des ingénieurs aérospatiaux soviétiques apparaît comme une preuve de progrès humain et politique. Au fond, c’est La Courneuve. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Août 1970 - La place Youri Gagarine. Le maire de Gera, en RDA, visite la cité de logement social des Cosmonautes dans le cadre du jumelage de sa ville avec Saint-Denis. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Fin des années 1990 - Nous sommes au sud de la place Youri Gagarine. Face à nous, le nord-est. En arrière-plan, La Courneuve.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Fin des années 1990 - La rue Valentina Terechkova. Sur la droite, les écoles.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Fin des années 1990 - Les balcons bleus.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Fin des années 1990 - Le porche jaune.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Fin des années 1990 - La rue Alan Sheppard avec, sur la droite de la photographie, les bâtiments de la cité des Cosmonautes.


    La cité des Cosmonautes

    La cité des Cosmonautes


    Fin des années 1990 - A la sortie de la cité des Cosmonautes en direction de La Courneuve, au sud.



  • La cité Floréal10 document(s).

    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Février 1997 - Le projet de requalification urbaine du quartier a commencé.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Novembre 1997 - Le centre commercial des débuts de la cité.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Janvier 1998 - Le même centre commercial sous un autre angle.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Mars 1997 - Le chantier de construction de l’immeuble de la Poste.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Mai-juin 1999 - La plantation des végétaux, allée de l’Ile-de-France.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Mai-juin 1999 - La même allée le même jour.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Juin 1998 - Promenade de la Basilique. Derrière le chantier, le foyer ALJT.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    Avril 1997 - La partie nord de la cité Floréal. Les ouvriers du chantier. On reconnaît une des tours de la cité La Saussaie sur la gauche de la photographie. Les deux cités sont proches. Elles seront requalifiées et rénovées chacune à leur manière.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    2011 - Rue du Plouich. La médiathèque Gulliver.


    La cité Floréal

    La cité Floréal


    2011 - Promenade de la Basilique.



  • La cité Henri Barbusse11 document(s).

    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1935 – La cité est toute neuve et ne passe pas inaperçue dans le quartier. A cette époque, La Mutualité, c’est surtout un quartier de petits propriétaires qui viennent d’acheter un terrain et qui se battent pour construire leur pavillon dans de bonnes conditions. La nouvelle cité, elle, est une cité de logement social privé. Elle offre à ses locataires des Habitations à Bon Marché, comme on dit alors.


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1955 – La Ville achète la cité en 1953 pour éviter qu’elle ne soit mise en vente appartement par appartement. C’est la crise du logement. L’Office Public d’Habitation de Saint-Denis engage des travaux pour surélever la cité d’un étage et créer ainsi 79 appartements nouveaux. La cité perd alors ses proportions de cité jardin des années trente. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1997 – La cité, récemment réhabilitée. (Photo Pierre Rousseau)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1997 – Le même corps de bâtiment vu sous un autre angle. (Photo Pierre Rousseau)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1962 – La préparation des terrains en vis-à-vis pour les espaces libres et la pelouse. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    Octobre 1960 – Une nouveauté technique : la collecte hermétique des ordures ménagères. Le facteur a laissé son vélo contre le mur et le linge sèche toujours aux fenêtres. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    Octobre 1960 – Les nouvelles poubelles fermées et propres. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1972 – Un groupe de copains. (Don privé)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1964 – Les enfants dans une pataugeoire improvisée. (Photo Pierre Douzenel)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1997 – Le centre de santé municipal du quartier avec, en arrière plan, la cité. L’architecte du dispensaire, construit en 1962, est André Lurçat. (Photo Pierre Rousseau)


    La cité Henri Barbusse

    La cité Henri Barbusse


    1997 – Une vue d’ensemble. Les pavillons côtoient la cité. On aperçoit, en arrière plan, le haut des tours de la cité Romain Rolland. (Photo Pierre Rousseau)



  • La cité Saint-Rémy6 document(s).

    La cité Saint-Rémy

    La cité Saint-Rémy


    Années 1960 - Une cage à oiseaux et deux copines sur le balcon de l’appartement de la cité Saint-Rémy. (Don privé)


    La cité Saint-Rémy

    La cité Saint-Rémy


    Années 1960 - Un repas de fête familiale dans un appartement de la cité. Au fond, la télévision achetée en 1961. (Don privé)


    La cité Saint-Rémy

    La cité Saint-Rémy


    1967 - La Dauphine des vacances, tout juste achetée, garée sur le parking, à l’entrée de la cité. Nous sommes à l’angle de la rue de Strasbourg et de l’avenue Romain Rolland. Au second plan, une tour de la cité Romain Rolland et au fond à gauche, la cité Henri Barbusse. (Don privé)


    La cité Saint-Rémy

    La cité Saint-Rémy


    Années 1980-1990 - Les enfants jouent dehors au pied de la cité. (Don privé)


    La cité Saint-Rémy

    La cité Saint-Rémy


    1977 - Le foot. (Don privé)


    La cité Saint-Rémy

    La cité Saint-Rémy


    2011 - La cité a vieilli. Elle est devenue difficile à vivre. Quelques immeubles ont déjà été démolis. La rénovation va se poursuivre. La photographie est prise depuis la rue de Strasbourg. (Photo AMSD)



  • La Mutualité19 document(s).

    La Mutualité

    La Mutualité


    Années 1930 – L’ancien chemin de Stains est devenu une voie urbaine. Le quartier de la Mutualité est né. Ses débuts sont rudes. Les terres agricoles ont été loties et mises en vente par leurs propriétaires sans aucune préparation. Il n’y a ni route, ni trottoirs, ni tout-à-l’égout. Les pavillons se construisent malgré tout. Mais. On appelle alors les habitants du quartier les « mal-lotis ».


    La Mutualité

    La Mutualité


    Février 1959 – Le même chemin de Stains renommé rue Henri Barbusse. Le café éclairé dans la nuit est le même que celui situé à la droite de la photographie précédente. Nous sommes tout près de la place Clovis Hugues.


    La Mutualité

    La Mutualité


    Années 1930 – Une perspective du chemin de Stains à la hauteur de la place Clovis Hugues.


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – La même perspective environ cinquante ans après. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    Années 1930 – La rue Clovis Hugues.


    La Mutualité

    La Mutualité


    Années 1930 – Un groupe de jeunes du quartier pavillonnaire.


    La Mutualité

    La Mutualité


    Années 1930 – Une petite fruiterie construite en planches. Les commerces s’installent dans le nouveau quartier, entre ville et campagne.


    La Mutualité

    La Mutualité


    Années 1920 – Une parcelle en cours d’aménagement.


    La Mutualité

    La Mutualité


    4 janvier 1936 – Le quartier, à cette époque, est inondable. Les photographies prises à l’occasion des inondations nous font deviner les difficultés des habitants. Ici, la rue de Sevran prolongée.


    La Mutualité

    La Mutualité


    4 janvier 1936 – Les maisons d’origine sont souvent faites de bric et de broc. Construire est cher. On utilise des matériaux de récupération, des planches, des blocs d’argile et de paille compressées, du mâchefer, des parpaings de ciment. Ici, c’est encore la rue de Sevran prolongée.


    La Mutualité

    La Mutualité


    1945 – Nous sommes au 22. Mais de quelle rue ? A la porte, une cage à oiseaux.


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – L’angle de la rue du Nord et de la rue Clovis Hugues. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – Une autre rue. Un garage en appentis, derrière son portail bleu, s’est transformé en immeuble monté en grosses briques d´argile creuses. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – Des pavillons dessinés par l’architecte André Lurçat. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – Une rue. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – Une autre rue. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – L’angle de la rue Clovis Hugues et de la rue Léon Carémé. Derrière les pavillons, on voit les tours de la cité de la Saussaie, à gauche de la photographie, et de la cité Floréal, à droite. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – Deux pavillons presque jumeaux, rue de la Ferme. (Photo Pierre Rousseau)


    La Mutualité

    La Mutualité


    1997 – L’entrée dans Saint-Denis par le quartier de la Mutualité et par la rue Clovis Hugues. (Photo Pierre Rousseau)



  • La place Clovis Hugues5 document(s).

    La place Clovis Hugues

    La place Clovis Hugues


    Vers 1930 - La place commerçante du nouveau quartier de La Mutualité. Sur la gauche, la rue Henri Barbusse s’en va vers le nord-est. Elle est bordée d’arbres d’alignement.


    La place Clovis Hugues

    La place Clovis Hugues


    1975 - Le même endroit, une quarantaine d’années plus tard. L’urinoir a été supprimé.


    La place Clovis Hugues

    La place Clovis Hugues


    1997 - Encore plus tard. La boucherie chevaline est toujours là. La boulangerie pâtisserie aussi. La place a été plantée d’arbres.


    La place Clovis Hugues

    La place Clovis Hugues


    Années 1990 - C’est l’été. La boucherie chevaline et la fontaine d’eau potable.


    La place Clovis Hugues

    La place Clovis Hugues


    1997 - Le même angle de vue que sur la première photographie avec la perspective de la rue Henri Barbusse. (Photo Pierre Rousseau)



  • La place de la République8 document(s).

    La place de la République

    La place de la République


    1916 - La place publique d’un tout petit quartier populaire né entre 1870 et 1890, le Bel Air.


    La place de la République

    La place de la République


    1939 - Le même endroit avec les mêmes petites maisons d’angle. L’heure n’est plus à la République. La guerre est déclarée.


    La place de la République

    La place de la République


    1945 - La place sous un autre angle. C’est la fête. La guerre est finie.


    La place de la République

    La place de la République


    1961- Les réverbères ont été supprimés. Mais pas la petite fontaine de rue. Des panneaux électoraux s’appuient sur le socle de la statue.


    La place de la République

    La place de la République


    1960 - La vie quotidienne sur la petite place publique. On voit bien sur cette photographie la disparité de gabarit des immeubles. Au début du 20e siècle, ce petit quartier ouvrier a changé d’échelle. (Photo Pierre Douzenel)


    La place de la République

    La place de la République


    1961 - A gauche, le souvenir de la Commune libre du Bel Air : une fausse mairie inventée dans les années 1920 sur le modèle de la Commune libre de Montmartre pour organiser des fêtes et des actions de solidarité dans le quartier. Le NON sur les affichettes collées sur le socle de la statue de la République, c’est un NON au général de Gaulle. Une autre guerre est arrivée, la guerre d’Algérie.


    La place de la République

    La place de la République


    1994 - La petite place a disparu. Mais elle a laissé sa marque. Une tenace trace du passé dans un quartier traversé par l’autoroute A1.


    La place de la République

    La place de la République


    1998 - Une autre place a été dessinée, dégagée de l’autoroute A1. Et le nouveau lycée de Saint-Denis s’est installé au Bel Air.



  • La rue Danielle Casanova12 document(s).

    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    Début du 20e siècle - Autrefois, la rue Danielle Casanova s’appelait le chemin d’Aubervilliers. Ici, on se trouve dans le haut de la rue et on regarde vers le nord. Au fond, on aperçoit l’hôpital. Au 21, aujourd’hui, il y a toujours une boulangerie. Sur la gauche part la rue Dohis, une rue d’immeubles en brique.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    Mars 1964 - L’arrivée de l’autoroute A1. Un moment difficile pour le quartier. Sur cette photographie, le pont de franchissement de la rue est en construction. Au-delà, on aperçoit les pavillons de l’hôpital, porte de Paris. (Photo Pierre Douzenel)


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1993 - Le même pont, 30 ans plus tard. Le débit de tabac qui marquait l’entrée de la rue Taittinger, visible sur la première photographie, a été détruit avec plusieurs autres immeubles, pour la construction du pont de l’autoroute.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    Novembre 1958 - La rue Danielle Casanova, entre la rue du Canal et la rue Baudet. C’était avant la construction de l’autoroute. Aujourd’hui cette portion de la rue a disparu.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1936 - On regarde maintenant vers le sud de la rue. Sur la gauche de la photographie, il y a des enfants avec un cartable. C’est normal, l’école est tout près.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1998 - La même vue, 60 ans après. Le 35 abrite l’école élémentaire Louise Michel. La rue Danielle Casanova traverse et structure le quartier du Bel Air, né dans la seconde moitié du 19e siècle. L’école a accompagné la naissance du quartier.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1994 - On avance dans la rue, et, comme c’est un ancien chemin, on ne chemine pas en ligne droite. Au fond, le bâtiment 3 de la cité du Franc Moisin. Aujourd’hui, il n’existe plus.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1989 - On se retourne. Sur la gauche, les immeubles du 68 au 76 face à la rue Germain Nouveau, une rue pavillonnaire.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    Début du 20e siècle - Nous sommes cette fois-ci tout au sud de la rue. Aubervilliers est au fond. Au premier plan, à gauche, les bâtiments d’entrée et le portail imposant de la Charcuterie du Landy. Cette usine alimentaire est une ancienne boyauderie.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1998 - La charcuterie industrielle, visible sur la photographie précédente, vue de la rue Francis de Pressensé. Les bâtiments d’entrée d’origine et le portail ont été démolis. (Photo Pierre Rousseau)


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    1949 - De l’autre côté de la rue, un peu plus haut. Les bâtiments de l’usine Nitrolac qui s’est installée dans les années 1930. Aujourd’hui, sur son ancienne emprise, il y a les immeubles du Clos Saint-Quentin.


    La rue Danielle Casanova

    La rue Danielle Casanova


    26 août 1963 - Les femmes militantes de l’Union des Femmes françaises fleurissent la plaque de la résistante Danielle Casanova qui a donné son nom à la rue. (Photo Pierre Douzenel)



  • La rue Henri Barbusse16 document(s).

    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    18e siècle - La rue Henri Barbusse est l'héritière d'une voie très ancienne, la seule qui, jusqu'à la fin du 17e siècle, permettait d'aller vers le Nord en partant du centre de Saint-Denis. Elle traverse l’ensemble de cette carte, du lieu-dit « La folie aux briets » (au sud-est) au lieu-dit Saint-Léger.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    Début du 20e siècle - Elle a d'abord fait partie du "Grand chemin de Pierrefitte à Saint-Denis", puis est devenue le "chemin de Stains", avant de prendre le nom de l'écrivain Henri Barbusse en 1945.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    Début du 20e siècle - De nombreuses exploitations maraîchères et agricoles, comme celle de la famille ci-dessus, entouraient cette voie située hors des murs de la ville ancienne.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    [1920-1931] – Au début du 20e siècle, la zone devient plus résidentielle. De petits propriétaires y construisent leurs pavillons, comme le maraîcher Jean Montérémal qui fait construire au numéro 82 une maison pour sa famille.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    1920 – Une famille dans le jardin de son pavillon.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    1931 – En 1932, la fondation Ludovic Barthélémy, société d’habitations à bon marché, dépose un projet de construction d’un groupe d’immeubles de 4 étages au lieu-dit « La Folie Briais », dans la partie sud-est du chemin de Stains. Sa façade est rythmée par de grands balcons tout en longueur.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    23/11/1950 – L’imposant groupe d’immeubles vu du sud-ouest. Les premiers locataires s’y sont installés au milieu des années 1930.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    01/03/1951 – La rue Henri Barbusse est historiquement traversée par plusieurs cours d’eau, comme la Vieille Mer (ci-dessus)  et le Rouillon. Ils ont été canalisés et recouverts au milieu du 20e siècle. (Photo Raymond Launois)


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    03/08/1964 – Après la Seconde Guerre mondiale, l’architecte et urbaniste de la ville de Saint-Denis André Lurçat propose la création d’un espace vert rue Henri Barbusse. Le parc Marcel Cachin est aménagé au début des années 1960. (Photo Pierre Douzenel)


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    1966 – André Lurçat est aussi l’architecte des deux équipements municipaux  situés au sud du parc, de part et d’autre de la rue : au n°9, la crèche Henri Barbusse (aujourd’hui maison du petit enfant La Ribambelle), construite entre 1948 et 1953.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    1965 –Au n°14, le centre de PMI (aujourd’hui centre municipal de santé) Henri Barbusse, édifié en 1957-1958. Sa façade en pierre meulière répond à celle de la crèche. (Photo Pierre Douzenel)


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    [Début du 20e siècle] – Une autre construction en pierre meulière, mais avec des encadrements en brique : le pavillon situé au n° 78 de la rue a été bâti par une famille ouvrière, les Bontemps, sans doute pendant les années 1920.


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    Février 1959 – La rue et ses petites boutiques de nuit : au premier plan, à gauche, au numéro 48, madame Fauché, fleuriste ; à droite, au numéro 63, le Primistère Parisien (épicerie).


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    [Début du 21e siècle] – La façade sur rue du n°59, près d’un siècle après sa construction : les gardes-corps métalliques sont toujours là, mais des fresques ornent désormais les murs de ce qui était en 1930 la maison Sicca, vins et liqueurs. (Photo Jean-Claude Naulet)


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    1998 – Les bâtiments situés dans la partie la plus au nord de la rue, comme ici à la hauteur du numéro 99, sont souvent de construction  plus récente. (Photo Pierre Rousseau)


    La rue Henri Barbusse

    La rue Henri Barbusse

    Années 1980 – Longue d’environ 1 kilomètre, la rue Henri Barbusse aboutit à l’avenue de Stalingrad. (Photo Georges Charrière)



  • Le vélodrome7 document(s).

    Le vélodrome

    Le vélodrome

    [1899] – Un terrain de 9500 mètres carrés dédiés à la culture maraîchère, au lieu-dit Le Haut du Tartre, à la lisière de Pierrefitte. C’est l’emplacement choisi en 1928 par le Club Vélocipédique Dionysien (CVD) pour y implanter son vélodrome. 


    Le vélodrome

    Le vélodrome

    1959 – Jusqu’au milieu des années 1970, le terrain est loué aux usines Ternois et Guinon, voisines de la piste. D’abord par la Société immobilière du vélodrome de Saint-Denis, présidée par un membre du CVD, l’industriel dionysien François Le Bescond, puis par la municipalité de Saint-Denis, qui reprend la gérance du vélodrome en 1933, avant de racheter la parcelle au milieu des années 1960. (Photo Pierre Douzenel)


    Le vélodrome

    Le vélodrome

    [Années 1980] – De la rue, impossible de voir la piste, implantée parallèlement à l’avenue de Stalingrad. Seule l’inscription sur les murs extérieurs permet d’identifier le lieu.


    Le vélodrome

    Le vélodrome

    [Fin du 20ème siècle] – Le vélodrome vu du ciel. Une circonférence de 250 mètres (le minimum pour prétendre au statut de vélodrome olympique) en béton armé, des virages inclinés à 45 degrés : pour la piste, le CVD s’est inspiré du vélodrome d’hiver, construit à Paris en 1910.


    Le vélodrome

    Le vélodrome

    6 mai 1948 – La tribune populaire, remplie à l’occasion de la fête du muguet, et l’entrée du souterrain qui permet d’accéder à la pelouse sans traverser la piste.


    Le vélodrome

    Le vélodrome

    1959 – Finale du grand prix cycliste de L’Humanité, record du monde cycliste de distance en 24 heures, rencontre derrière derny (motocyclettes qui devancent les cyclistes, comme sur cette photo), grand prix de vitesse international de Saint-Denis… le vélodrome accueille de multiples compétitions. Aujourd’hui, c’est l’un des cinq vélodromes toujours en activité en région Ile-de-France. (Photo Pierre Douzenel)


    Le vélodrome

    Le vélodrome

    1985 – De nombreux champions y ont concouru au fil des années, comme l’équipe de France de poursuite qui profite sur cette photo de la piste tout juste rénovée. Et presque un siècle après sa construction, les passionnés du CVD continuent à s’y entraîner. (Photo Martine Barraud)



  • Les baraques du Franc Moisin4 document(s).

    Les baraques du Franc Moisin

    Les baraques du Franc Moisin


    Années 1960 - Le passage du Franc Moisin dans le quartier du Bel Air.


    Les baraques du Franc Moisin

    Les baraques du Franc Moisin


    Années 1960 - Une baraque du passage du Franc Moisin. Le grand bidonville du Franc Moisin a pris naissance autour de ce passage de maisons de bois auto-construites présentes dès l’après-guerre.


    Les baraques du Franc Moisin

    Les baraques du Franc Moisin


    Début des années 1970 - Le bidonville accueille principalement des Portugais. Au début des années 1970, 5000 personnes y vivent. (Photo Pierre Douzenel)


    Les baraques du Franc Moisin

    Les baraques du Franc Moisin


    Années 1970 - Les valises et le départ pour habiter ailleurs. (Photo Pierre Douzenel)



  • Les jardins ouvriers du Fort de l’Est12 document(s).

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    Début du 20e siècle - L’entrée du fort, rue du Fort de l’Est. Ce détail de l’architecture militaire du fort est visible depuis l’autoroute A1. Le fort a été construit au milieu du 19e siècle. Les jardins ouvriers, eux, ont obtenu l’autorisation de s’installer sur le glacis du fort dès le début du 20e siècle.


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    1998 - Les jardins. (Photo Pierre Rousseau)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    1998 - Les jardins. Les immeubles de logements militaires et au fond la cité des 4000 de La Courneuve. (Photo Pierre Rousseau)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    1998 - Le chemin des jardiniers. Et toujours le même paysage urbain en arrière plan. (Photo Pierre Rousseau)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    Janvier 1995 - Le même paysage en hiver avec le chien du jardinier. (Photo Gilbert Fest)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    Juin 1975 - Au printemps. (Photo Gilbert Fest)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    Août 1993 - Un couple de jardiniers. Il y a beaucoup de choux plantés. Nous sommes sûrement chez des Portugais. (Photo Gilbert Fest)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    Années 1950 - Les jeux des enfants au jardin ouvrier. (Photo Gilbert Fest)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    Années 1960 - Les enfants, plus grands, font leurs devoirs devant le cabanon de jardin. Ils habitent en appartement, un peu plus loin. (Photo Gilbert Fest)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    1979 - Les échanges et le partage entre jardiniers. (Photo Gilbert Fest)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    2011 - Une vue d’ensemble des jardins. Il y a des dahlias. C’est la fin de l’été ou le début de l’automne. (Photo AMSD)


    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est

    Les jardins ouvriers du Fort de l’Est


    2011 - Un vrai cabanon de jardin fabriqué et peint par le jardinier. (Photo AMSD)