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Il fut un temps où, à Saint-Denis, l’administration municipale veillait tout particulièrement aux vacheries locales. Et cela sous l’autorité attentive du maire. Le préfet lui-même s’en mêlait. Toute nouvelle vacherie faisait l’objet d’un dossier et d’une campagne d’affichage. Etait-on pour ou contre ?
ConsulterL’octroi, impôt local indirect, a alimenté les caisses municipales de toutes les villes de France pendant près d’un siècle et demi. Il a eu cours tout au long du XIXe siècle et jusqu’à la Seconde guerre mondiale.
ConsulterAndré Lurçat a été l’architecte, en Seine-Saint-Denis, de 15 groupes scolaires.
L’école Irène et Frédéric Joliot Curie est l’une d’entre elles. On la trouve à Saint-Denis, Chemin du Moulin Basset. Ce bâtiment a été construit en 1959, à une époque où les filles et les garçons n’allaient pas à la même école et ne jouaient pas dans la même cour de récréation.
Les inondations de 1910 sont restées dans la mémoire collective parisienne.
La crue de cette année-là est dévastatrice. La Seine monte et dépasse de cinq mètres son niveau moyen habituel. Elle déborde, elle envahit les rues. Une catastrophe naturelle qui paralyse la vie économique et le quotidien des habitants désemparés devant la hauteur de l’eau du fleuve et la boue qui s’infiltre partout.
Alphonse de Lamartine est un poète. Il fut aussi (qui le sait ou s’en souvient ?) un homme politique très actif sous la Monarchie de Juillet et pendant la Révolution de 1848.
Lamartine, humaniste militant, ne cessa, durant toutes ses années d’engagement politique, de lutter pour l'abolition de l'esclavage dans les colonies et les possessions françaises.
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