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Focus

Vous accédez à des documents (films, photos, études, etc.) et vous lisez en même temps un article qui vous aide à les mettre en perspective.


Plans d'entreprises – 19e siècle

Un décret impérial du 15 octobre 1810 subordonne toute installation de manufactures ou d’ateliers à un régime d’autorisation préalable.  L’industriel doit établir un dossier et le soumettre à l’administration. 
L’administration étudie le lieu d’implantation de l’établissement en lien avec l’activité industrielle prévue. En cas de nuisances possibles pour le voisinage, une enquête est ouverte et le public est invité à donner son avis. Ce décret est l’ancêtre de notre droit actuel en matière de protection de l’environnement.

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Lampiste – 1844-2015

Lampiste, nom masculin.

Lampiste, c'est d'abord un nom de métier, très courant avant l'arrivée de l'électricité.

Les lampes sont fabriquées par les ferblantiers, qui deviennent des lampistes quand ils se spécialisent dans cet artisanat.

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Papiers à en-tête – 19e/20e siècle

Ce focus présente une collection de 200 courriers adressés à la mairie de Saint-Denis, entre 1837 et 1971, par des entreprises ou des commerçants, presque toujours locaux. Ces courriers, qui sont souvent des factures, ont une caractéristique commune : ils sont écrits, à la main ou à la machine, sur du papier à lettres à en-tête.

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Une étude d’André Lurçat – 1960

André Lurçat, en 1960, donne un article à la revue Recherches Internationales sur le thème de « L’homme et la ville ». Au moment de l’écriture de son article, il est l’architecte et l’urbaniste de la Ville de Saint-Denis depuis près de 15 ans. Il a dans le même temps présidé à la reconstruction de Maubeuge.

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Le "taudis" dans l’histoire de Saint-Denis – 1948

Cette photographie a été prise lors d’une fête politique, à Saint-Denis, au printemps 1948. Elle représente l’intérieur d’un stand entièrement habillé d’un décor peint et coloré comme celui d’une scène de théâtre : il s’agit de la représentation dramatisée d’un taudis. A l’époque, le terme n’est pas péjoratif. Il est utilisé pour désigner une habitation en mauvais état, souvent exiguë, dépourvue de confort et d’hygiène. Aujourd’hui, on parle plus couramment d’habitat insalubre.

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